En ce mardi 20 décembre, Courchevel organisait une épreuve de Coupe du Monde Féminine de ski alpin. Savoie Mont Blanc ayant convié ses ambassadeurs à l’évènement, j’ai profité des vacances de Noël et suis monté en famille pour assister à la compétition. Je n’avais jamais vécu de courses de ce niveau. Après une longue hésitation ski/pas ski/peut être en demi journée/allé ski/oh et puis non! j’ai finalement décidé de repousser mon retour sur les spatules et de venir dans la station des 3 Vallées en tant que spectateur pour profiter pleinement de la compétition.

Départ du village du Praz avec les télécabines pour arriver à Courchevel 1850 puis direction l’espace Coupe du Monde au pied du slalom de géant pour le début de la course. On a beau se rendre compte à la télévision de la vitesse de descente, c’est encore plus impressionnant en vrai.

Annulation de l’épreuve

Malgré un bon début de première manche et une bonne ambiance des spectateurs le vent est venu tout compliquer, obligeant l’arrêt momentané de la compétition après dix-neuf passages et l’annulation des premiers résultats. La Française du Grand-Bornand Tessa Worley occupait la septième place provisoire. Les filles devaient repartir en fin de matinée mais du fait des conditions météo difficiles (vent fort) et malgré la bonne volonté du comité d’organisation c’est toute la compétition qui a été annulée.

Bien évidement tout le monde a été très déçu, à commencer par l’équipe d’organisation et les athlètes mais face à la nature et ses caprices on ne peut rien. Tout était bien organisé et le moment très convivial malgré tout. On reviendra l’an prochain !

Ambassadeur Savoie Mont-Blanc

Bonne ambiance sur la Croisette dans l’espace Savoie Mont Blanc dont le personnel nous a accueilli chaleureusement tout au long de la journée : petit déj, photobooth, rencontre avec des athlètes, apéro, échange avec d’autres membres du réseau des ambassadeurs.

C’est quand l’hiver ?

Entre la concentration des skieurs sur un espace réduit du fait du manque de neige, des remontées mécaniques fermées à cause du vent, je n’ai pas regretté de ne pas avoir mes skis.